Suite de l'histoire
D- C’est dur pour le personnel médical tout de même …
C- Oui, partir à la guerre avec la fleur au fusil, comme en 1914.
D- Hum, pourtant ça fait un moment qu’il réclame plus de moyen en organisant des manifs.
C- Oui, d’ailleurs, les flics les ont bien tabassées les infirmières.
D- Ha c’est donc ça ?.
C- ça quoi ?.
D- Ben, je voyais les infirmières avec le fou rire en se frottant les mains et je croyais que c’était avec du gel hydro-alcoolique !
D- Non, non, elles attendent l’arrivage de ces messieurs.
Mais dis moi, t’as vu que les écoles, lycées, collèges vont rouvrir et pas les universités ?.
C- Ben oui, les universitaires ne sont plus gardés par les parents !
D- Je vois pas le rapport….
C- Ben réfléchi un peu.. C’est une manière élégante de renvoyer les parents au turbin.
D- Ha oui, donc plus de prétexte de devoir garder les mômes. C’est pas con….
C- Non mais c’est encore un trou dans la raquette !!!
D- Oups ! raconte …..
C- Ben, quand on est en guerre, selon nos coutumes, on n’envoie pas les enfants au front !.
C- T’as vu que les vétérinaires étudient le dressage des chiens renifleur pour détecter le covid19 ?
D- Oui, mais dans les Ehpad, avec les couches changées tous les deux jours, c’est pas gagné !
C- Non, on n’est pas dans la mer…………attendons plutôt l'approvisionnement des tests.
Alors peut-être à demain si vous restez bien chez vous.
Bernard